Améliorer votre certificat PEB ? C’est l’isolation qui rapporte le plus !

Exemple pratique Recticel Insulation calcule le bénéfice énergétique (label) des mesures de rénovation

A propos de l'article

  • Publié le
    03 Décembre 2020
  • Type
    Press
Comment faire pour que votre maison puise passer du label F ou G, au le label E, D, C, B ou A le plus rapidement et le plus efficacement possible ?

Plus de confort, une facture énergétique inférieure, moins d’émission de CO2, une valeur ajoutée substantielle pour votre maison …  Les raisons de vouloir obtenir un bon score sur votre certificat de Performance Energétique du Bâtiment sont légion. Mais comment faire pour que votre maison puise passer du label F ou G, par exemple, au le label E, D, C, B ou A le plus rapidement et le plus efficacement possible ? En donnant la priorité absolue à l'isolation des toits, des murs et des sols, comme le montre un calcul effectué par Recticel Insulation dans le cadre de son Baromètre de l'isolation 2020.

Le certificat de Performance Energétique du Bâtiment (PEB) est obligatoire pour les maisons et appartements proposés à la vente ou à la location. Il informe les propriétaires et les acheteurs ou locataires potentiels sur la performance énergétique du logement en question en indiquant la consommation moyenne théorique du logement et en attribuant à celui-ci un label énergétique allant de G (logement très consommateur d'énergie) à A+ (logement qui produit plus d'énergie qu'il n'en consomme).

Afin d'atteindre les objectifs énergétiques européens, tous les logements existants doivent obtenir le label A ou mieux d'ici 2050. Nous sommes encore à des années-lumière de cette ambition aujourd'hui. En Wallonie, en 2019, la consommation théorique moyenne d'un logement, des maisons et des immeubles d'appartements réunis s'élevait à 459 kWh/m²/an ou label F. Pour améliorer les résultats énergétiques, nous devons donc bien plus rénover et de manière bien plus économe en énergie.

Un meilleur PEB ? Voilà comment vous y prendre !

Mais quelle est la meilleure façon d'aborder une rénovation économe en énergie si vous voulez améliorer les résultats du label aussi rapidement et efficacement que possible ?

« La réponse à cette question est claire », déclare Pieter Bailleuil, Technical Manager Belux chez Recticel Insulation, un important acteur du marché de l'isolation thermique et acoustique. « Vous y parvenez en donnant la priorité absolue à l'isolation des toits, des murs et des sols. Il ne s'agit pas seulement de commencer par l'isolation pour que la demande de chaleur reste aussi faible que possible et de réfléchir ensuite à la manière la plus durable de répondre à cette demande de chaleur, en respectant parfaitement le principe du Trias Energetica. Les mesures d’isolation assurent aussi un gain d'énergie bien plus significatif que l’investissement dans des techniques économes en énergie de chauffage, d’eau chaude sanitaire, de ventilation ou de production de vapeur. »

Un exemple pratique en apporte la preuve

Le fait que l'isolation des toits, des murs et des sols est la mesure la plus efficace pour améliorer votre certificat PEB ressort également très clairement des calculs que Recticel Insulation a fait effectuer dans le cadre de son Baromètre de l'isolation 2020. 

Nous avons ainsi calculé que lors de la rénovation  d'une maison mitoyenne avec un score énergétique initial de 730 kWh/m²/an, l'isolation du toit garantit un gain énergétique de 376 kWh/m²/an, l'isolation des murs extérieurs signifie un gain énergétique de 81 kWh/m²/an et l'isolation du sol entraîne un gain énergétique de 60 kWh/m²/an. Avec une bonne étanchéité, un gain énergétique supplémentaire de 20 kWh/m²/an pourrait être indiqué sur le certificat PEB. Les trois mesures d’isolation donnaient ensemble en d’autres termes un gain énergétique de pas moins 537 kWh/m²/an, tandis que l’installation d’une chaudière très économe permettrait d’obtenir un gain de seulement 56 kWh/m²/an, l’installation de 8 m² de collecteurs solaires seulement 15 kWh/m²/an et celle de 10 m² de panneaux solaires seulement 10 kWh/m²/an.

Pour parler en termes de labels PEB (wallons) : l'isolation du toit a permis de faire évoluer le label PEB de cette maison de G à E. L'isolation des murs a permis de passer du label E au label D. Le remplacement des fenêtres a permis d'obtenir le label C et l'isolation des sols a permis à cette maison d'obtenir le label B. Une nouvelle chaudière, un chauffe-eau solaire et des panneaux photovoltaïques n'étaient que la cerise sur le gâteau pour obtenir le label A+.

Améliorer votre certificat PEB
Architectes: CREATUUR Studie- & Adviesbureau + HAP-ARCHITECTEN


Plus d'informations ? 
Pour plus d'informations, voir www.barometredelisolation.be. Vous y trouverez également un livre blanc détaillé. 
 

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Vous y trouverez également un livre blanc détaillé. 

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